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Numérisation : Generali et Talanx licencient à tour de bras

Pour faire face aux nouveaux défis de la numérisation, Generali annonce la suppression de 1000 postes en Allemagne tandis que Talanx, troisième assureur allemand entreprend d’en supprimer plus de 600 d’ici à 2020.  Lire l’article
L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Bientôt une aide à la complémentaire santé pour les Parisiens ?

Les conseillers municipaux de la ville de Paris ont voté un projet de délibération en faveur d’un accès à une complémentaire santé pour tous les Parisiens. Le texte prévoit le lancement d’une grande campagne d’information sur les aides existantes en 2016 ainsi que la création d’un dispositif spécifique à la souscription d’une mutuelle santé. Explications.

Le Conseil de Paris vient de voter un projet de délibération qui vise notamment à créer une aide spécifique à la complémentaire santé.

 

Faire en sorte que l’ensemble des Parisiens et Parisiennes aient accès aux soins. C’est l’objectif du projet de délibération déposé par le groupe radicaux de gauche, centre et indépendants de la ville. Le texte, qui prône un accès à une complémentaire santé pour l’ensemble des habitants de la capitale, a été examiné puis adopté à l’unanimité par le Conseil de Paris le 16 février 2016.

Le projet de délibération se découpe en deux pans : le premier vise à améliorer l’information sur les dispositifs d’accès aux soins existants, le second à créer une aide spécifique. Mais l’objectif final est identique : permettre à tous les Parisiens de disposer d’une couverture santé complémentaire et donc d’enrayer le renoncement aux soins. « L’obstacle financier est grand pour certains, il peut alors être difficile d’accéder à une mutuelle ou d’avoir une couverture suffisante pour certains soins, comme l’optique et le dentaire », avance le président du groupe radicaux de gauche Jean-Bernard Bros.

Faire connaître l’ACS et la CMU-C aux personnes éligibles

Jean-Bernard Bros dresse un premier constat : les dispositifs actuels ne sont pas efficaces car méconnus des éventuels bénéficiaires. « Un seul exemple, l’aide à l’acquisition d’une complémentaire santé (ACS) versée sous conditions de revenus, est peu utilisée puisque moins de 40% des personnes qui y seraient éligibles en font la demande », déplore le conseiller municipal. Il en va de même pour la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C), peu employée par les assurés qui y ont pourtant le droit.

Afin d’y remédier, le groupe radicaux de gauche propose dans un premier temps que la ville de Paris « se donne les moyens de mieux informer les citoyens de leurs droits ». Concrètement, afin que les éventuels bénéficiaires de l’ACS, de la CMU-C et d’autres aides les demandent, les conseillers plaident en faveur d’une campagne d’information à travers des supports numériques, des équipements et personnels de proximité. Autrement dit, multiplier les canaux d’information, des panneaux d’affichage de la ville aux centres de soins en passant par les mairies d’arrondissement.

Enrayer les effets de seuils avec la création d’une nouvelle aide

Par ailleurs, l’élu pointe que les dispositifs d’aide existants impliquent « des effets de seuil importants : au-delà de 972 euros de revenus mensuels, vous n’avez actuellement plus aucune aide. Pourtant avec un revenu mensuel autour de 1.000 euros, il peut être difficile de se payer une complémentaire santé ». Parmi les plus touchés, les retraités modestes et les travailleurs précaires, « exclus du dispositif de mutuelle d’entreprise », généralisé à l’ensemble des salariés du privé au 1er janvier 2016.

« Parallèlement, pour les personnes aux ressources faibles mais inéligibles aux dispositifs existants, nous proposons que la ville réfléchisse à une aide spécifique, indique Jean-Bernard Bros. Il faudra veiller à agir en complément et non pas en remplacement d’autres dispositifs d’aide existants. » L’idée est d’avoir recours à une labellisation de contrats ou d’opérer un appel d’offre collectif comme ce fut le cas pour les mutuelles santé communales. Selon le conseiller de Paris, 100.000 à 200.000 Parisiens profiteraient de cette aide spécifique. Quant au chevauchement des aides, les élus auront en effet intérêt à être prudents : en dehors des aides comme l’ACS et la CMU-C versées sous conditions de revenus, le gouvernement vient de mettre en place des contrats de complémentaire santé labellisés réservés aux seniors et retraités. Par ailleurs, la Mairie de Paris propose déjà de son côté un « Complément santé Paris » aux personnes âgées modestes de 65 ans et plus afin de les aider à payer les cotisations de leur mutuelle.

Bien que le projet de délibération ait été voté, les caractéristiques de l’aide à l’acquisition d’une mutuelle demeurent encore à définir. En effet, le texte n’engage pour l’instant qu’à mettre sur pied en 2016 une campagne d’information pour faire connaître les dispositifs existants et un groupe de projets pour déterminer les modalités de cette aide à la complémentaire santé parisienne. « Il ne s’agit donc pas de se lancer tête baissée mais de prendre le temps de l’expertise et de la consultation pour trouver le dispositif le plus adéquat », conclut Jean-Bernard Bros. Les habitants de la capitale n’ont plus qu’à prendre leur mal en patience.

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Tout Sur L Assurance

Une assurance Axa offerte aux conducteurs du site de location Ouicar.fr

L’assureur Axa débute un partenariat avec le site de location de voiture entre particuliers Ouicar.fr. Les utilisateurs de la plateforme, propriétaires comme locataires, bénéficient de cette protection additionnelle gratuitement. Toutefois, certaines conditions sont requises.

Axa et Ouicar.fr s'allient pour proposer une assurance additionnelle gratuite aux utilisateurs de la plateforme.

 

Après son partenariat avec BlaBlaCar quelques mois auparavant, l’assureur Axa remet le couvert cette fois-ci avec le site de location de véhicule entre particuliers, Ouicar.fr. Depuis le 1er février 2016, les utilisateurs de la plateforme sont couverts gratuitement par Axa.

En effet, « pour chaque location effectuée sur Ouicar.fr, notre assurance remplace automatiquement celle du propriétaire de la voiture pendant toute la location. Le coût de l’assurance est inclus dans les prix affichés sur le site », détaille le site de location. Celui-ci espère ainsi attirer de nouveaux adeptes du partage de voiture en misant sur la carte de la confiance. « Ce nouveau partenariat avec Axa […] va nous permettre d’augmenter encore la fiabilité de notre service et permettre à OuiCar de continuer à bâtir une communauté de confiance », estime la fondatrice du site Marion Carrette.

De son côté, la compagnie d’assurance réaffirme son « soutien à l’économie collaborative ». « Notre volonté est de concevoir de nouvelles offres et services, pour accompagner les nouveaux usages liés à la mobilité », indique la directrice des partenariats d’Axa, Elise Bert.

Quelle protection ?

Pour le locataire

L’assurance proposée sur le site de Ouicar.fr est « tous risques ». Coté locataire, la garantie responsabilité civile prend en charge les dommages corporels (illimités) et matériels dans la limite de 100 millions d’euros. En cas de litige avec un tiers, les frais liés à l’engagement de la procédure judiciaire sont couverts. La totalité des dommages au véhicule, incendie et vol compris, sont indemnisés à hauteur de 50.000 euros. Une franchise de 800 euros, majorée à 3.000 euros en cas de non-restitution du véhicule, reste cependant à la charge du locataire. L’assurance contient par ailleurs une assistance 24h/24. En cas de panne, le véhicule loué profite d’une assistance 0 kilomètre, en contrepartie de fais de gestion appliqués par Ouicar.fr de 70 euros, payables par le propriétaire ou le locataire de la voiture. Si la panne est mécanique et que son origine vient de l’usure normale, les réparations sont à la charge du propriétaire tandis que si elle provient d’une mauvaise utilisation du locataire, c’est ce dernier qui paiera les frais.

Aucun remboursement n’interviendra dans le cadre de déplacements en dehors de France métropolitaine, sauf une liste arrêtée de pays frontaliers* et lors d’un usage professionnel du véhicule. Comme tout contrat d’assurance, des exclusions de garanties sont également prévues, comme le bris de glace, les bagages ou encore la crevaison.

Attention, tous les utilisateurs du site ne peuvent pas prétendre à cette protection additionnelle. Il faut être âgé au minimum de 21 ans et titulaire d’un permis de conduire depuis plus de deux ans et payer l’emprunt du véhicule avec une carte bleue exclusivement au nom de celui qui figure sur le contrat de location.

Pour le propriétaire

A compter de la remise des clefs, le véhicule est protégé par l’assurance Axa pendant la durée de la location. Point non négligeable, en cas de sinistre, le bonus du propriétaire ne sera pas impacté. Pour en bénéficier, il faut être un particulier, titulaire de la carte grise du véhicule et posséder un contrat d’assurance annuel au minimum au tiers pour la voiture prêtée. Attention, en plus de ces conditions, tous les véhicules ne sont pas inclus dans le champ de l’assurance, comme les deux-roues, les camping-cars, les véhicules de plus de 9 places ou encore sans assurance.

Dans les deux cas, les garanties ne sont valables qu’au maximum 6 mois pour la même location. En cas de sinistre, le constat à l’amiable sera à envoyer dans les 5 jours à Ouicar – Service assurance – 8 rue du Sentier – 75002 PARIS- accompagné de la copie du contrat de location signé, de la carte grise, du permis de conduire du locataire et de l’attestation d’assurance annuelle de la voiture.

*Allemagne, Andorre, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Monaco, Pays-Bas, Portugal, Suisse


Tout Sur L Assurance

Airbnb, BlaBlacar, Ouicar… quelle assurance pour l’économie collaborative ?

C’est un fait, les pratiques collaboratives se sont largement répandues. Partager sa voiture ou louer le logement d’un particulier via des plateformes comme Airbnb, BlaBlaCar ou encore Ouicar n’exempte pas de s’assurer. Le point sur les protections en matière d’auto et d’habitation.

Avant de vous lancer dans l'économie collaborative, vérifiez que vous possédez les assurances auto et habitation adéquates.

 

Echanger son appartement, louer le logement d’un particulier ou encore partager sa voiture le temps d’un trajet… ces pratiques collaboratives sont désormais monnaie courante. Si elles permettent de réduire les frais tout en étant plus conviviales, cela n’exempte pas pour autant les utilisateurs d’assurance. Quelles sont les précautions à prendre avant de se lancer ? Le point sur les assurances en matière d’automobile et d’habitation.

Auto

Covoiturage

Pour rouler à plusieurs en toute tranquillité, le premier réflexe à avoir est de contacter son assureur. Même si vous êtes couvert, mieux vaut vérifier et connaître l’étendue de vos garanties dans ce cadre précis. « Certains contrats peuvent en effet contenir des clauses restrictives », prévient le site de covoiturage BlaBlaCar. Le conducteur doit par exemple s’assurer que l’usage déclaré dans son contrat prend bien en compte le trajet domicile-travail.

Dans tous les cas, la responsabilité civile incluse dans l’assurance auto couvre le conducteur ainsi que les personnes prises en covoiturage. Là encore, prévenez votre assureur : ce dernier pourra en effet dénoncer le contrat en cas d’accident s’il n’a pas été informé au préalable. Attention également à une éventuelle clause de conduite exclusive si vous comptez passer le volant à l’un des passagers. Certaines garanties ne peuvent être actionnées que si le véhicule est conduit par le conducteur nommément désigné au contrat. Par ailleurs, même si le contrat inclut le prêt de volant, sachez qu’en cas d’accident le malus vous revient et que des franchises plus élevées peuvent être appliquées.

En tant que passager, charge à vous de vérifier que le conducteur possède bien un permis de conduire valide et un certificat d’assurance sur le pare-brise.

Enfin, sachez que de plus en plus de plateformes collaboratives proposent des assurances incluses dans le prix du service : c’est le cas pour le covoiturage du site BlaBlaCar dont l’assureur partenaire est Axa.

Pour en savoir plus : Quelle assurance pour un covoiturage ?


Prêt de sa voiture avec ou sans intermédiaire

Deux cas de figure se présentent si vous souhaitez prêter votre véhicule : soit vous passez par un site de location, soit directement entre particuliers. Dans le premier cas, la plateforme par laquelle vous passez assure généralement le véhicule pendant la durée de la location. Cela ne vous empêche pas pour autant de vérifier les garanties offertes par le contrat : l’ensemble des conducteurs (limite d’âge, ancienneté du permis…) et des véhicules (âge, kilométrage…) sont-ils couverts, une garantie assistance en cas de panne ou d’accident est-elle incluse ? « Le plus souvent, les intermédiaires de la location de voitures entre particuliers proposent une assurance dommages tous accidents. En plus de la garantie responsabilité civile obligatoire, l’assureur couvre les dommages matériels du véhicule, le risque d’incendie et de vol », explique la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA). En cas d’accident, des plafonds d’indemnisation peuvent toutefois s’appliquer. Par ailleurs, la franchise reste à la charge du locataire et le propriétaire du véhicule prêté garde son bonus.

A titre d’exemple : Une assurance Axa offerte aux conducteurs du site de location Ouicar.fr

Si vous prêtez directement votre véhicule, vérifier là aussi que votre contrat auto inclut la faculté « prêt de volant » et inscrivez le locataire en second conducteur. Mieux vaut également contacter votre assureur pour étudier l’étendue des garanties et adapter le cas échéant votre contrat avant de louer.

En tant que locataire, vérifiez bien que la voiture est assurée, demandez une attestation au propriétaire et lisez attentivement les garanties, notamment pour les dommages de la voiture.

Habitation

Location du type Airbnb

Votre première protection reste votre contrat d’assurance multirisques habitation (MRH). « Il est important de faire préciser par l’assureur que les garanties jouent strictement dans les mêmes conditions que si l’habitation avait été occupée par l’assuré lui-même », indique la FFSA. Cela vaut notamment si vous possédez des objets de valeur (œuvres d’art, bijoux…). Faites-vous également confirmer par votre assureur que votre garantie responsabilité civile propriétaire joue à l’égard des occupants, notamment en cas de dommages corporels subis dans le logement loué.

Sachez également que des plateformes offrent des protections supplémentaires, à l’image d’Airbnb avec sa « Garantie Hôte ». Cette dernière couvre automatiquement les éventuels dommages causés par un voyageur sur les propriétés à hauteur de 800.000 euros.

En tant que voyageur, vous serez couvert par la responsabilité civile incluse dans votre MRH contre les dommages que vous pourriez causer durant votre séjour (incendie, dégâts des eaux…).

Echange d’appartement ou de maison

Là encore, normalement votre contrat MRH doit vous protéger, via la garantie responsabilité civile « villégiature ». Attention, celle-ci fait l’objet d’un plafond et est souvent limitée géographiquement, mieux vaut donc appeler votre assureur, surtout si vous échangez à l’étranger. Profitez-en pour lui demander de préciser dans votre MRH que les garanties s’appliquent à votre partenaire d’échange de la même façon que si vous occupiez le logement. Pensez également à demander la responsabilité civile « villégiature » de votre partenaire.

Pour en savoir plus : Airbnb, échange d’appartement : pensez à vous assurer !


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La LMDE offre à ses assurés un bilan de santé connecté gratuit

Les assurés de la principale mutuelle étudiante, la LMDE, et les adhérents de la complémentaire santé Intériale ont désormais accès à une cabine connectée leur permettant de réaliser eux-même un bilan de santé. Pour l’instant, cette expérience n’est encore possible qu’à Paris.

La LMDE et Intériale proposent désormais à leurs assurés une cabine connectée pour réaliser un bilan de santé.

 

La principale mutuelle des étudiants, la LMDE, saute le pas de la médecine connectée. De retour aux mains des étudiants après une année de gestion compliquée, la LMDE a décidé de proposer à ses affiliés une cabine de télésanté.

En d’autres termes, une cabine connectée qui vous permet de réaliser vous-même un bilan de santé à l’aide d’un logiciel vidéo explicatif. Depuis le 4 janvier 2016, elle est accessible aux assurés de la LMDE et à ceux de la mutuelle santé Intériale, l’organisme complémentaire qui a pris le relais de la MGEN depuis quelques mois. “Grâce à cette innovation, les adhérents des deux mutuelles, étudiants, fonctionnaires du ministère de l’Intérieur et agents territoriaux, peuvent dès aujourd’hui bénéficier d’un suivi de santé régulier, rapide et totalement gratuit“, se félicite la Sécurité sociale des étudiants dans un communiqué diffusé le 1er février. En effet, vous n’aurez aucun frais à avancer, le bilan de santé étant pris 100% en charge par votre mutuelle. “Les réflexes de dépistage et de prévention se sont amoindris par faute de temps, de moyens ou en raison de l’isolement de certains lieux d’habitation. La cabine de e-santé est un dispositif visant à pallier ce problème d’accès à un bilan de santé ou à une consultation médicale“, détaille la LMDE.

Détecter des pathologies de façon autonome et confidentielle

La machine vous propose plusieurs programmes plus ou moins approfondis : en fonction de votre choix, comptez 10 à 30 minutes. “Guidé étape par étape, vous procédez de façon autonome à un dépistage de diverses pathologies courantes ou plus rares“, explique la LMDE. La cabine vous permet ainsi de détecter d’éventuels troubles de l’audition, de la vue, de l’alimentation ou encore du rythme cardiaque en mesurant votre tension, votre masse corporelle, votre température, votre pulsation cardiaque et enfin votre taux d’oxygène dans le sang. Point important, l’ensemble des données récoltées sont strictement confidentielles et anonymes.
Si l’expérience vous tente, rendez-vous dans la seule agence LMDE qui propose pour l’instant ce dispositif connecté au 7 rue Danton – 75006 PARIS – entre 9h et 16h30. Vous pouvez par ailleurs prendre rendez-vous en amont sur Internet.

Améliorer la prévention et l’accès aux soins

Pour les initiateurs du projet, c’est l’occasion “d’évaluer l’attractivité du projet, les motifs de consultation et l’impact sur la santé des populations couvertes par les deux mutuelles“. Cela permettra également d’enrichir les programmes d’accompagnement en matière de prévention, chers à la LMDE. “A l’heure où 35% des jeunes renoncent à des consultations médicales, notre rôle est de multiplier les initiatives pour renforcer l’accès aux soins“, indique le président de la LMDE, Romain Boix. Pour celui d’Intériale, Pascal Beaubat, “cette innovation concrétise la vocation de notre groupe mutualiste à veiller sur le capital santé de manière simple, pratique et accessible financièrement“.

Les dirigeants des deux organismes le promettent, si l’expérimentation fonctionne, d’autres cabines de e-santé verront le jour dans les agences du réseau d’Intériale et de LMDE dispatchées sur l’ensemble du territoire.


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