Actualités

Economie collaborative : le costockage, nouveau levier pour Hiscox

L’économie collaborative ne cesse d’innover. La société costockage.fr, nouvel entrant sur ce marché, en est l’illustrations. Elle se présente comme le «Airbnb» du garde-meuble. Pour l’occasion, Hiscox et le cabinet de courtage Affiniteam proposent un nouveau produit affinitaire dédié aux clients de ce site Internet.

Les équipes du site ayant mis en place ce service collaboratif ont d’ailleurs opté pour un système d’assurance automatiquement incluse dans leurs contrats de stockage, en affinitaire. «Le but de cette assurance est avant tout de rassurer les locataires qui entreposent des biens de valeur (sentimentale ou pécuniaire). Elle atteste de notre sérieux et de notre volonté de transparence totale», évoque Adam Levy-Zauberman, l’un des deux fondateurs de costockage.fr.

Locataires et propriétaires couverts

Résultat : le site web propose directement toute la panoplie des couvertures d’assurance dommages aux biens (incendie, vol, catastrophe naturelle, tempête, neige, dégâts des eaux…), et ce pour un plafond de garantie pour l’ensemble des biens de 2 500 €, accessible sans option supplémentaire.

Cette assurance vient également couvrir les propriétaires donnant accès à des espaces de stockage. Cette assurance multirisque, alliant couverture dommage et responsabilité civile, peut atteindre un plafond de 1 M€. «Il est important de noter qu’une assurance habitation classique ne couvre pas normalement une activité de stockage rémunérée, d’où la nécessité d’avoir une assurance responsabilité civile pour couvrir les dommages du lieu», précise la direction du site.


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

La voiture connectée, une tendance qui s’accélère

La Une de l’Argus du 17 octobre est revenue sur les mutations du secteur automobile, accompagnées de leur lot de conséquences, notamment pour le secteur de l’assurance. Si l’usage de la voiture partagée ou encore de la voiture propre amènent les assureurs à mettre en place de nouvelles offres, la voiture connectée représente «sans conteste le mouvement le plus avancé».

A l’inverse, la voiture autonome ne parvient pas à «dépasser le stade des prototypes».

Retrouvez l’ensemble de l’article «Des mutations qu’il faut garder à l’œil» dans l’Argus du 17 octobre.

 


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Mutuelles : MGEN confirme la fin du plan d’adossement de la LMDE

mgen-logo-batiment-news-assurances-proMutuelles : MGEN confirme la fin du plan d'adossement de la LMDE

Sans surprise, le Conseil d’administration de la MGEN a décidé la fin du plan d’adossement de la LMDE.

Comme annoncé devant la presse lundi 20 octobre, Thierry Beaudet, président de la MGEN a demandé l’avis du Conseil d’administration de la MGEN pour stopper le plan d’adossement de la LMDE. Et le Conseil d’administration a décidé de mettre fin au plan. “Nous avions confiance dans notre plan d’adossement, qui commençait d’ailleurs à porter ses fruits, mais le contexte a changé“, précise Thierry Beaudet.

Dans un communiqué envoyé ce 24 octobre, la MGEN ajoutee donc qu’elle réintègre la gestion des enfants étudiants des adhérents MGEN avec effet à la prochaine rentrée, en 2015.
La convention de substitution n’est pas concernée et la MGEN veut s’impliquer dans le futur de la LMDE et “propose de renouveler les bases du partenariat avec la LMDE et les étudiants” pour construire l’offre complémentaire étudiante, “élargie, renforcée et adossée au groupe MGEN”.

Et pour ce faire, la MGEN annonce prendre l’initiative de “rencontrer les acteurs à même de contribuer à la construction de cette offre complémentaire”.
Le rapport de l’administratrice provisoire de la LMDE devrait être rendu dans les prochaines semaines.


News Assurances Pro

L’assurance cherche son esperanto prudentiel

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L’assurance cherche son esperanto prudentiel

Publié le 24 octobre 2014 à 00h 00 par GÉRALDINE VIAL

Sous la houlette du Conseil de stabilité financière, émanation du G20, l’Association internationale des contrôleurs d’assurance (IAIS) veut renforcer la réglementation des groupes d’assurances réputés systémiques et doter le secteur d’un standard de capital commun. Hasard du calendrier : il y a un an, au moment même où la Commission européenne officialisait la date d’entrée en vigueur de Solvabilité 2 au 1er janvier 2016, l’Association internationale des contrôleurs d’assurance (IAIS) prenait tout le monde de court en annonçant la création d’un nouveau standard de capital international, l’ICS. Son objectif ? Développer cet ICS pour fin 2016, de façon à ce que l’ensemble des groupes « actifs à l’international », les IAIGs, puissent l’appliquer dès 2019. Un chantier démesuré ? Inutile de dire que l’ambition, aussi louable soit-elle, semble quelque peu démesurée, quand on sait qu’il a fallu pas moins de 15 ans à l’Europe pour accoucher de son nouveau régime prudentiel. Que le calendrier soit serré, personne ne le conteste. Il n’empêche, le train semble bel et bien en marche. Pour preuve, l’IAIS s’est formellement engagée auprès du G20, au nom d’un contrôle plus efficace du secteur de l’assurance, à promouvoir un « langage mondial clair, cohérent, comparable et mesurable », dont l’ICS sera la pièce maîtresse. En réalité, le sujet n’est pas totalement nouveau. L’IAIS travaille en effet depuis 2010 à l’élaboration d’un cadre de supervision harmonisé à l’échelon international, ComFrame, lequel comprend des aspects qualitatifs familiers aux organismes soumis à Solvabilité 2 (il est en effet question de gouvernance, de gestion des risques, et d’ORSA), mais aussi un volet quantitatif, l’ICS. Un vaste chantier, tant les régimes de supervision sont à des niveaux d’avancement différents de par le monde. Aux états-Unis par exemple, la Réserve fédérale (FED) tente d’imposer la notion de supervision groupe, inexistante aujourd’hui ! Bref, personne ne conteste que l’assurance ait bien besoin d’améliorer sa « comparabilité », au-delà du seul échelon européen. En outre, depuis la crise financière de 2008, marquée par la chute de Lehman Brothers et le couteux sauvetage d’ AIG , l’heure est au renforcement de la réglementation prudentielle internationale, et tout d’abord à des fins de stabilité financière. L’enjeu ? Faire la chasse aux institutions systémiques, capables d’entraîner tout ou partie du système financier avec elles en cas de défaillance. Si les banquiers ont été les premiers concernés (Bâle 3), les assureurs n’y échappent…

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L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Résultats T3 2014 : Hausse du chiffre d’affaires d’Axa pour le 3eme trimestre 2014

axa-logo-batiment-siegeRésultats T3 2014 : Hausse du chiffre d'affaires d'Axa pour le 3eme trimestre 2014

Le groupe Axa publie un chiffre d’affaires en hausse de 2% à 69,6Mds d’euros pour le 3ème trimestre 2014, porté par toutes les branches qui gagnent 2 à 3% de chiffre d’affaires.

Les comptes d’Axa pour le 3ème trimestre 2014 font état d’un chiffre d’affaires en hausse à 69,6Mds d’euros. En comparaison avec 2013, la hausse est de 2%.
Dans le détail, l’activité de l’assureur français a été portée par un gain similaire en Vie, épargne retraite (+2% en comparable) même si le publié fait état d’un recul de 1%. La marge sur affaires nouvelles est en croissance de 1 point à 34% contre 33% en 2013.

En dommages, les chiffres d’affaires en publiés et comparables sont en hausse respectives de 3 et 2%. Celui-ci atteint 23,2Mds d’euros. Enfin, en gestion d’actifs, la collecte nette s’apprécie pour atteindre 16,3Mds d’euros, contre 6Mds au troisième trimestre 2013, mais le chiffre d’affaires est en croissance de 3% en comparable, en recul de 8% en publié. La différence, selon Axa, tient à la force de l’euro face aux autres monnaies.

A la Bourse de Paris, le titre était en hausse de 1,53% à 17,96 euros pour un CAC 40 en hausse de 1,25%

Pour rappel, Axa avait annoncé en août dernier un bénéfice record sur le premier semestre 2014 qui atteignait 3Mds d’euros en hausse de 22%, pour un chiffre d’affaires en croissance de 2% à 50Mds d’euros.


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