Actualités

Nomination : Valérie Castelnau devient souscriptrice dommages chez QBE France

QBE Lloyd'sNomination : Valérie Castelnau devient souscriptrice dommages chez QBE France

Le 1er octobre 2014, QBE France, la filiale française de l’assureur australien, renforce son équipe dommages et nomme Valérie Castelnau souscriptrice dommages.

QBE France annonce l’arrivée au poste de souscriptrice dommages de Valérie Castelnau. La nomination est effective depuis le 1er octobre.

Diplômée de l’Université Paul Valéry à Montpellier, Valérie Castelnau débute sa carrière en 2002, comme chargée de comptes chez SBJ Limited, à Londres puis à Paris. En 2004, elle rejoint Diot au département dommages. Avant d’intégrer QBE France, elle occupait le poste de souscriptrice dommages et chargée de développement chez Tokio Marine.


News Assurances Pro

Portrait : Claude Chassain, fondatrice du réseau Actu’Elles

Convaincue que l’on peut progresser sans sacrifier sa vie personnelle, cette matheuse anglophile est à l’initiative du premier réseau de femmes actuaires, métier qu’elle a choisi de démarrer en Angleterre, en 1996, avant de repartir en France, en 2009.

Découvrez le portrait de Claude Chassain, fondatrice du réseau Actu’Elles, à retrouver dans l’Argus du 10 octobre.


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Emploi : CNP relève le niveau des assureurs

CNP-Assurances-logo-siege-ParisEmploi : CNP relève le niveau des assureurs

Alors que commence ce 10 octobre la semaine de l’égalité professionnelle, qui se tiendra jusqu’au 17 octobre, CNP Assurances arrive en deuxième position d’un palmarès des entreprises du SBF 120 sur le thème de la féminisation des instances dirigeantes.

Elles ne sont que quatre enteprises du secteur de l’assurance sur les 120 qui composent l’indice des Sociétés des bourses françaises (SBF 120) mais elles ont été notées dans le palmarès diffusé publié par le Secrétariat d’Etat chargé des droits des femmes. Et connaissent des fortunes diverses.

Ainsi, CNP Assurances fait figure de bon élève. Selon le palmarès, le bancassureur obtient une note de 67,68 points, et s’arroge la deuxième place, derrière Sodexo, leader mondial des services aux entreprises. L’an passé, CNP Assurances était en 16ème position.

Euler Hermès, du groupe Allianz, parvient à grimper à la 9ème place (note totale de 60,58) au prix d’une des meilleures progressions de l’indice, la 3ème selon le communiqué du ministère.
Vient ensuite Axa, installé à la 11ème place (57,72). Il faut ensuite descendre au milieu de l’indice pour trouver, à la 65ème place, Scor SE (34).

Entre Axa et Scor se trouvent quelques bancassureurs, tels que BNP Paribas (27e – 47,22), Crédit Agricole (43e – 41,18) et Société Générale (46e – 39,80). A noter qu’il y a pire que Scor puisque Natixis se place au 79ème rang, avec une note de 31,69.

Dans la méthodologie du palmarès, sont prises en compte trois notes : la féminisation du Conseil, la féminisation des dirigeants et les politiques de féminisations. Plus simplement, les entreprises se sont vues attribuer un score sur 100 en fonction de critères comme la part des femmes dans leur conseil d’administration et dans leur comité exécutif, ou encore la prise en compte d’objectifs de mixité et l’existence de réseaux de femmes dans la société.


News Assurances Pro

Assurance emprunteur : l’équivalence de garanties en débat au CCSF

Le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) planche de nouveau sur l’assurance emprunteur. Présidé par Emmanuel Constans, le comité qui réunit consommateurs, banquiers, assureurs et intermédiaires, doit se réunir pour la deuxième fois mardi 14 octobre pour débattre sur l’équivalence de garanties. C’est en effet sur cette notion qu’achoppe le marché, théoriquement libéralisé, de l’assurance emprunteur individuelle depuis l’entrée en vigueur de la loi Hamon, le 26 juillet 2014.

Un marché «bloqué»

Les défendeurs de l’assurance individuelle regrettent en effet que les banques soient toujours juge et partie, puisqu’elles peuvent refuser un contrat d’assurance emprunteur sous prétexte que les garanties ne sont pas suffisantes ou équivalentes. Ils ont pourtant développé des contrats de plus en plus larges, à l’instar de la Macif qui propose depuis juillet un «engagement d’équivalence» accordé sans coût supplémentaire : la mutuelle s’engage à en mettre en œuvre les garanties dans les conditions prévues au contrat d’assurance groupe de l’établissement prêteur si celles-ci sont plus favorables.

la piste du socle de garanties minimales

Les bancassureurs ont pourtant fait un pas. «Nous sommes favorables à une meilleure définition de l’équivalence des garanties, à condition que ce soit dans l’intérêt des assurés», indiquait ainsi cet été Jean Vecchierini de Matra, délégué général du Groupement des bancassureurs, à l’Argus de l’assurance

Dans son rapport paru fin 2013, l’Inspection générale des finances (IGF) avait préconisé la création de différentes catégories de contrats définies par des garanties minimales. D’autres pistes sont évoquées comme la labellisation de contrats. 

Suite à cette mission ordonnée en juillet par Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics, le CCSF devrait formuler un nouvel avis sur l’équivalence de garanties en fin d’année.. 


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Des assurés encore en or

L’article que vous souhaitez consulter est en accès réservé

Des assurés encore en or

Publié le 10 octobre 2014 à 00h 00

Clients fidèles, moindre sinistralité, souscription à des garanties de confort… : les seniors constituent une cible particulièrement recherchée par les assureurs en quête de rentabilité technique. Les apparences sont parfois trompeuses. Peu convoités dans les campagnes publicitaires d’assurance auto et habitation, encore moins dans les offres, les seniors n’en constituent pas moins une cible de choix dans la segmentation du portefeuille des assureurs. Il suffit de se pencher sur les données de marché pour s’en convaincre. De bons risques, et suréquipés… En multirisque habitation, les seniors représentent en moyenne 25 à 35 % des contrats et génèrent jusqu’à 40 % des primes encaissées. Deux raisons à cela : d’une part, près d’un senior sur trois en France, soit environ 6 millions de personnes, est propriétaire d’une résidence secondaire. Ce n’est guère surprenant, puisque les plus de 50 ans détiennent deux fois plus de résidences secondaires que les autres générations. D’autre part, les seniors ont une propension plus forte que leurs cadets à équiper leurs MRH de garanties…

Vous devez être abonné à l’argus pour lire la suite de l’article

Pas encore abonné

Découvrez nos offres d’abonnement

Abonnement 1 an : 220 € TTC

L’hebdomadaire + les hors-séries
+ la newsletter quotidienne + l’accès
illimité au site et aux archives

Je m’abonne

dans la même rubrique

VERS UNE BRANCHE DÉPENDANCE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
12/06/2003
LES JEUNES ENFANTS SE BLESSENT MOINS
12/06/2003
LA CIRSEV ADHÈRE AU GROUPE APRI
12/06/2003

XL CAPITAL PASSERA À 100 % DU MANS RE
12/06/2003
LE CAR ALLEMAND ÉTAIT MAL ENTRETENU
12/06/2003
PRÉCISION SUR LA RC DES HUISSIERS
12/06/2003



L’Argus de l’Assurance – Acteurs