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Story : Les perspectives 2020/2021 de l’assurance mondiale

STORY – Le Swiss Re Institute (SRI) a livré ses perspectives pour le secteur de l’assurance dans le monde à horizon 2020/2021. Portées par l’Asie, les primes devraient continuer d’augmenter. Découvrez les principaux enseignements de l’étude dans notre story.

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JOURNEES CULTURELLES, les yeux grands ouverts

Parité Assurance ouvre son horizon au-delà de l’assurance dans les domaines culturels où l’association trouve une inspiration pour ses différents sujets de réflexion et ses actions.

  • LE FESTIVAL DU PRINTEMPS DES FAMEUSES. Annuellement, dans la semaine du 8 mars, les membres de Parité Assurance participent aux FAMEUSES à Nantes, laboratoire de l’égalité hommes/femmes, référence au niveau national et européen. Des dirigeantes, élues, chercheuses, artistes, sportives de haut niveau participent à cet événement qui veut aussi faire la démonstration que la question de l’égalité hommes/femmes, au-delà de la notion de justice, a une valeur sur le plan économique et sociétal et que son potentiel d’innovation est sous-exploité. Les thèmes des deux derniers festivals :
    • Mars 2018 : L’égalité
    • Mars 2019 : les générations (mettre les liens vers le site ?) OK

    • ARTISTES A LA UNE TOGETH’HER : Février 2019, Musée de la Monnaie, Paris.
      • Exposition organisée pour soutenir les programmes en faveur de l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes menés par ONU Femmes.
      • Le projet : carte blanche donnée à 31 artistes contemporains, femmes et hommes venant du monde entier, les invitant à imaginer sur une couverture du magazine Vogue Paris, le portrait d’une femme iconique et inspirante à leurs yeux, qui a bousculé les lignes à leur époque et transformé avec audace, style et créativité notre façon de voir le monde. (mettre les liens vers le site ?)

     

    Béatrice Imhaus (XX) a organisé cette visite.

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Aviation : Une sinistralité de plus en plus coûteuse

INFOGRAPHIES – Dans son dernier rapport sur la sécurité du marché de l’aviation commerciale dans le monde, AGCS pointe la croissance du nombre et de l’ampleur des sinistres, avec des montants d’indemnisations qui dépassent désormais ceux des primes d’assurance.

« Si l’amélioration de la sécurité aérienne est incontestable, notamment compte tenu du nombre d’accidents mortels, l’aviation voit néanmoins croître le nombre et l’ampleur de ses sinistres, ce à quoi les pilotes et les assureurs ne peuvent pas rester indifférents ». Voilà qui résume parfaitement les résultats du dernier rapport sur l’évolution de la sécurité dans l’aviation commerciale à travers le monde rendu en début de semaine par l’assureur grands risques Allianz Global Corporate & Specilaty.

Baptisé « Aviation Risk 2020 », le document, réalisé en partenariat avec l’université aéronautique américaine Embry-Riddle, indique que malgré un niveau de sécurité au plus haut ces dernières années, la fréquence des sinistres est en hausse pour des montants d’indemnisation eux aussi en forte progression. Sur plus de 50.000 demandes d’indemnisation en aviation analysées ces cinq dernières années par l’assureur (soit près de 15Mds d’euros) « l’étude montre que les collisions et accidents représentent plus de la moitié de la valeur des sinistres (57%), à savoir 8,4Mds d’euros, et plus d’un quart du nombre des sinistres (27%) », peut-on lire (voir infographies ci-dessous).

« La sophistication des avions contribue aussi à augmenter le montant des demandes d’indemnisation », note également l’assureur dans son rapport. AGCS constate ensuite une hausse du montant des demandes d’indemnisation pour des dommages causés par des corps étrangers. « Selon la Federal Aviation Administration (FAA), plus de 14.600 collisions avec des animaux ont été enregistrées en 2018. Les collisions aviaires représentent une part importante des sinistres en assurance aviation, avec plus de 330M d’euros de dommages sur les cinq dernières années », pointe le rapport.

Boeing 737 Max

Le document fait également état d’une croissance de la complexité de la conception, de la technologie et de la construction des aéronefs, avec pour conséquence une hausse du coût des incidents au sol, notamment sur des flottes entières. « Tel a été le cas pour le Boeing 787 Dreamliner en 2013, à la suite de problèmes électriques liés aux batteries en lithium-ion, et plus récemment pour le Boeing 737 Max de dernière génération, après deux accidents mortels survenus dans un intervalle de cinq mois en 2018 et 2019 », indique AGCS. Si le sinistre Boeing est toujours en cours celui-ci devrait dépasser le milliard de dollars comme le rappelait au micro de News Assurances Pro, Christophe Graber, directeur général de la Réunion aérienne en septembre dernier, le constructeur aurait même provisionné 5Mds de dollars pour couvrir les coûts liés à l’immobilisation au sol de ses appareils.

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Cercle LAB : Retour sur le 1er club épargne/retraite [2019-2020]

Jeudi 17 octobre s’est tenue la première réunion du club épargne/retraite en présence de son parrain, Jean-François Lequoy, directeur général de Natixis Assurances et de son expert, Serge Moreno, directeur marketing épargne et clientèle patrimoniale chez AG2R La Mondiale. Il fut largement question des taux négatifs.

Le monde de l’assurance et plus particulièrement le monde de l’épargne est entré dans une nouvelle ère : celle des taux négatifs. « D’aussi loin que je me souvienne, j’ai beaucoup entendu parler des taux bas, mais jamais des taux négatifs », a fait savoir un assureur présent le 17 octobre dernier. « Il ne faut surtout pas être dans le déni de ce nouveau monde », poursuit-il.

Et c’est bien parce que la situation est inédite que les travaux du club épargne/retraite su Cercle LAB vont s’attacher à analyser l’épargne/retraite à l’aune de ce nouveau contexte, tout au long de l’année. Car après des années de commercialisation de fonds euros, il devient impératif d’acculturer les clients à une certaine forme de prise de risque dans l’épargne. « Il faut sortir de cette image qui consiste à dire que les unités de compte sont forcément des placements en action », lance une participante.

Le besoin de liquidité et de sécurité du capital des épargnants devient incompatibles avec celui de solvabilité des assureurs. « Il faut faire évoluer les offres, voire le code des assurances qui n’est pas adapté à un monde de taux bas, voire négatif », pointe un bancassureur. « Le fonds euros va devenir plus rare, il faut donc le rendre plus cher », avance un ancien assureur. Cela peut passer par la hausse des frais de gestion, ou le conditionnement à une quote-part réservée à des UC. Certains préconisent également de desserrer l’étau sur les placements illiquides comme c’est le cas au Luxembourg. Pour d’autres, il faut mettre en avant le sens de l’épargne en insistant sur les classes d’actifs vertes.

Il va de toute façon falloir trouver des solutions pour éviter un scénario à la japonaise. 7 acteurs de l’assurance vie avait fait faillite.

A l’occasion de la prochaine réunion, le 17 décembre prochain, nous évoquerons l’épineuse question du devoir de conseil dans le cadre de la commercialisation de produit d’épargne

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Résultats 2019 T3 : Forte hausse du bénéfice pour Munich Re

Le géant allemand de la réassurance Munich Re a annoncé vendredi un bénéfice net en hausse de 75% au troisième trimestre en dépit des catastrophes naturelles, prévenant qu’il allait “dépasser” ses objectifs pour l’année 2019.

Sur la période de juillet à septembre, le groupe, dont le coeur de métier est d’épauler les assureurs contre les risques qu’ils encourent, a dégagé un bénéfice net de 850 millions d’euros contre 483 millions en 2018. Le bénéfice net part du groupe, qui avait été de 505 millions d’euros au troisième trimestre de l’année passée, n’a pas été détaillé vendredi.

“Malgré d’importants paiements pour de grands dommages”, par exemple les catastrophes naturelles, Munich Re a vu son résultat enfler en raison d’une “bonne évolution opérationnelle” mais également d’effets de change très avantageux et de gains provenant ses placements financiers. “Même si l’incertitude sur l’évolution des grands dommages et des marchés financiers reste naturellement très grande, Munich Re s’attend à dépasser l’objectif” de bénéfice net annuel, qui est de 2,5 milliards d’euros, ajoute l’entreprise dans un bref communiqué.

Ces chiffres sont préliminaires et seront détaillés le 7 novembre, précise Munich Re. Pour 2018 déjà, Munich Re avait annoncé un bénéfice net sextuplé sur un an, à 2,31 milliards d’euros, contre 375 millions d’euros en 2017, année marquée par de grands sinistres.

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