Étiquettes
2011 2012 2014 2015 2016 2017 2018 Allianz Assurance assurances Assurer assureurs auto baisse collecte complémentaire contrat contrats COURTAGE dans FFSA France Français Generali Groupama groupe général habitation hausse marché Mutuelle mutuelles Nomination prix Protection prévoyance retraite Risques réassurance résiliation résultats santé Solvabilité tarifs taux
Emploi : CNP relève le niveau des assureurs
Alors que commence ce 10 octobre la semaine de l’égalité professionnelle, qui se tiendra jusqu’au 17 octobre, CNP Assurances arrive en deuxième position d’un palmarès des entreprises du SBF 120 sur le thème de la féminisation des instances dirigeantes.
Elles ne sont que quatre enteprises du secteur de l’assurance sur les 120 qui composent l’indice des Sociétés des bourses françaises (SBF 120) mais elles ont été notées dans le palmarès diffusé publié par le Secrétariat d’Etat chargé des droits des femmes. Et connaissent des fortunes diverses.
Ainsi, CNP Assurances fait figure de bon élève. Selon le palmarès, le bancassureur obtient une note de 67,68 points, et s’arroge la deuxième place, derrière Sodexo, leader mondial des services aux entreprises. L’an passé, CNP Assurances était en 16ème position.
Euler Hermès, du groupe Allianz, parvient à grimper à la 9ème place (note totale de 60,58) au prix d’une des meilleures progressions de l’indice, la 3ème selon le communiqué du ministère.
Vient ensuite Axa, installé à la 11ème place (57,72). Il faut ensuite descendre au milieu de l’indice pour trouver, à la 65ème place, Scor SE (34).
Entre Axa et Scor se trouvent quelques bancassureurs, tels que BNP Paribas (27e – 47,22), Crédit Agricole (43e – 41,18) et Société Générale (46e – 39,80). A noter qu’il y a pire que Scor puisque Natixis se place au 79ème rang, avec une note de 31,69.
Dans la méthodologie du palmarès, sont prises en compte trois notes : la féminisation du Conseil, la féminisation des dirigeants et les politiques de féminisations. Plus simplement, les entreprises se sont vues attribuer un score sur 100 en fonction de critères comme la part des femmes dans leur conseil d’administration et dans leur comité exécutif, ou encore la prise en compte d’objectifs de mixité et l’existence de réseaux de femmes dans la société.