La compagnie d’assurance en ligne L’Olivier a annoncé une diminution de 2% en moyenne sur les tarifs des nouveaux contrats souscrits en 2016. Pour les assurés fidèles, une baisse de franchise allant de 15 à 50% sera appliquée progressivement, pour tout renouvellement d’assurance auto à compter de janvier 2016.
Bonnes nouvelles en perspective pour les souscripteurs de contrats d’assurance auto L’Olivier. Pour attirer de nouveaux assurés, la compagnie d’assurance en ligne a décidé d’opérer une baisse de ses tarifs de l’ordre de 2% en moyenne sur les nouveaux contrats souscrits.
Pour les adhérents fidèles qui renouvellent leur assurance auto à compter de janvier 2016, L’Olivier diminue le montant des franchises. La baisse se montera à « 15% la première année, 30% la deuxième année et 50% à partir de la troisième année », précise l’assureur direct. A noter que cette réduction court pour l’année à venir dès l’échéance anniversaire du contrat et correspond aux franchises des garanties vol, incendie, tempête, forces de la nature, attentats, actes terroristes et dommages tous accidents. Attention, seuls « les assurés sans sinistre responsable ou partiellement responsable survenu pendant la période de référence et sans mise en demeure pour non-paiement de prime émise » pourront profiter de ce bonus.
La compagnie présente sur Internet souhaite ainsi « maintenir le pouvoir d’achat et sécuriser le budget de ses assurés » dans un contexte de concurrence accrue du marché avec l’entrée en vigueur de la libre résiliation au bout d’un an inscrite dans la loi Hamon et la présence d’une multitude de comparateurs. « Janvier n’est plus la date historique d’échéance des différents contrats d’assurance. Aujourd’hui, chacun peut quitter son assureur sous un mois sans attendre la date d’anniversaire », appuie le directeur général de L’Olivier Pascal Gonzalvez.
L’augmentation moyenne des tarifs d’assurance auto se situe à 1% en 2016. Selon le fondateur du cabinet de conseil Facts & Figures Cyrille Chartier-Kastler, la loi Hamon a en effet sa part de responsabilité dans l’évolution contenue des primes cette année : « La profession ne peut plus se permettre d’afficher des taux de hausses supérieures (à 1%, Ndlr), car ceux-ci conduisent à des résiliations ou des renégociations. » De son côté, le fondateur du comparateur Assurland.com Stanislas di Vittorio évoque « la diminution du nombre d’accidents ces quinze dernières années » qui compense « le renchérissement de la réparation des voitures ».