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Catastrophe naturelle : plus de temps pour déclarer les dégâts

Le président de l’Association française de l’assurance (AFA) Bernard Spitz a affirmé au micro de France Info que les assureurs allaient donner plus de marge aux victimes pour leur déclaration de sinistre et que la procédure d’indemnisation serait accélérée dans la majorité des cas.

Le président de l'Association française de l'assurance Bernard Spitz a annoncé que les assurés auraient plus de temps pour déclarer les dégâts

 

Se remettre du « chaos ». Après les violentes intempéries qui ont sévi dans le sud de la France (Alpes-Maritimes) dans la nuit de samedi à dimanche, les victimes vont devoir entamer les démarches auprès des compagnies d’assurance.

De son aveu au micro de France Info lundi 5 octobre 2015, le président de l’Association française de l’assurance (AFA) Bernard Spitz a raconté que les dégâts étaient « extrêmement impressionnants. Quand on se balade dans les rues de Cannes, d’Antibes, on voit des chaussées éclatées, des voitures renversées… c’est le chaos dans les rues ».

Le président de l’AFA s’est ainsi déplacé dans les Alpes-Maritimes afin « de coordonner, de parler à tous les acteurs, les assureurs, les élus, les autorités. J’ai voulu m’assurer qu’il y avait sur place un travail collectif afin d’apporter le meilleur service aux assurés », a-t-il indiqué. De son côté, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve a également annoncé qu’il rencontrerait ce mardi « la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA) ainsi que l’ensemble des administrations concernées afin qu’il puisse être  procédé le plus rapidement à l’indemnisation ».

Afin de laisser le temps aux sinistrés de se remettre de cette catastrophe naturelle, les assureurs ont ainsi décidé d’être plus souples. Pour déclarer un sinistre après la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle par le gouvernement, « la loi dit 10 jours. Mais en réalité, les assureurs selon les circonstances, peuvent offrir des tolérances plus grandes. L’AFA se réunit demain [mardi 6 octobre, Ndlr] après-midi et nous prendrons des dispositions pour assouplir le système et donner des marges de liberté plus importantes pour les assurés », a déclaré Bernard Spitz.

Une indemnisation accélérée

Par ailleurs, le président de l’AFA a rappelé le délai de trois de mois pour être indemnisé. Toutefois, là encore, les compagnies d’assurance vont s’efforcer d’accélérer les procédures « dans la majorité des cas ». « Pour les cas les plus complexes, qui nécessitent une analyse et une expertise, on peut imaginer un premier versement puis le versement du solde après le passage des experts », a précisé Bernard Spitz. Ce dernier l’a promis, il n’y aura pas d’indemnisation au rabais parce que la procédure de remboursement sera plus rapide.

L’assureur conseille également aux sinistrés de signaler au plus vite les dommages subis à leur compagnie pour être remboursés au plus tôt ainsi que de prendre un maximum de photos pour ne pas à avoir à attendre le passage de l’expert et pouvoir déjà commencer à déblayer.

>> Pour en savoir sur la marche à suivre auprès de son assureur

 

Le président de la République François Hollande a annoncé que l’état de catastrophe naturelle serait reconnu en Conseil des ministres mercredi 7 octobre. « L’arrêté sera publié le lendemain au Journal Officiel, le jeudi 8 octobre », a précisé Bernard Cazeneuve. De quoi assurer aux victimes une indemnisation à hauteur de leurs pertes matérielles.


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Catastrophe naturelle : les victimes ont jusqu’au 31 octobre pour déclarer

Le gouvernement a publié l’arrêté de catastrophe naturelle pour les victimes des intempéries dans les Alpes-Maritimes et le Var, afin qu’elles soient entièrement indemnisées. De leur côté, les assureurs ont décidé de concert d’allonger le délai de déclaration de sinistre jusqu’au 31 octobre.

L'état de catastrophe naturelle a été reconnu par l'Etat et les assureurs ont allongé jusqu'au 31 octobre le délai de déclaration de sinistre

 

Chose promise, chose due. Les assureurs ont garanti plus de souplesse pour les victimes des violentes intempéries qui ont sévi dans le sud de la France (Alpes-Maritimes) dans la nuit du 3 au 4 octobre 2015, et c’est chose faite.

Pour que les sinistrés soient indemnisés à hauteur des dommages subis, le gouvernement a publié jeudi 8 octobre au Journal Officiel un arrêté de catastrophe naturelle au lendemain du Conseil des ministres. « Les dégâts subis par les biens privés ont été conséquents […]. Compte tenu de l’intensité anormale du phénomène météorologique et de la gravité de ses conséquences, la procédure d’urgence permettant de reconnaître l’état de catastrophe naturelle dans les 14 communes du département des Alpes-Maritimes et 18 communes du Var a été mise en œuvre », a annoncé le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. >> Voir la liste détaillée des communes concernées.

Près de 3 semaines pour déclarer à son assureur

En temps normal, les victimes ont 10 jours pour déclarer un sinistre après la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle par le gouvernement. Mais, au micro de France info mardi 6 octobre, le président de l’Association française de l’assurance (AFA) Bernard Spitz indiquait que « si la loi dit 10 jours, les assureurs selon les circonstances peuvent offrir des tolérances plus grandes ». L’AFA s’est ainsi réunie pour « prendre des dispositions pour assouplir le système et donner des marges de liberté plus importantes pour les assurés », selon son président. Il en est ressorti qu’au lieu du délai habituel de 10 jours, les assurés auraient près de deux semaines supplémentaires pour informer leur compagnie. « Les délais de déclaration de sinistres sont prolongés jusqu’au [samedi] 31 octobre 2015 », a annoncé l’AFA sur son site.

Premiers versements rapides pour les plus touchés

Par ailleurs, les déclarations de pertes pourront être effectuées « par tout moyen écrit : lettre simple, mail, … », a précisé le groupement d’assureurs. Comme l’avait déjà indiqué Bernard Spitz deux jours auparavant, « les assurés bénéficieront d’avances sur indemnisation selon les besoins et les circonstances, avec une attention particulière portée aux personnes en grande difficulté du fait des conséquences des inondations ». Les compagnies vont ainsi tenter de réduire au maximum le délai d’indemnisation de trois mois, et d’effectuer un premier versement en attendant l’indemnisation complète pour les cas complexes qui nécessitent le déplacement d’un expert. L’AFA a également rappelé que des assureurs étaient sur le terrain afin d’aider les victimes dans leurs démarches administratives et faciliter l’enregistrement des déclarations de sinistre.

>> Pour en savoir sur la marche à suivre auprès de son assureur

 

Le gouvernement a par ailleurs annoncé en Conseil des ministres que « face à la récurrence des phénomènes climatiques de fortes intensités et à prévisibilité réduite, un groupe de travail interministériel a été mis en place ». Ce dernier doit permettre d’améliorer les dispositifs de prévention, d’alerte et d’information mais également de mieux préparer la population à faire face à ce genre d’évènements.


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UFC-Que Choisir lance son comparateur de mutuelles santé

L’association de consommateurs UFC-Que Choisir met à disposition des assurés un comparateur de complémentaires santé gratuitement sur son site internet. En quelques clics, les consommateurs obtiennent un tableau comparatif des offres sur le marché en fonction de leur profil. L’outil est disponible jusqu’au 31 décembre 2015.

 L'association UFC Que Choisir met à disposition des assurés son comparateur de mutuelles santé gratuitement.

 

 

Pour quelle complémentaire santé allez-vous opter ? Bien que ce choix ne dépendra plus de la grande majorité des salariés du privé à l’approche de la généralisation de la complémentaire santé au sein des entreprises, reste que certains devront encore choisir un contrat à titre individuel.

>> Pour en savoir plus sur la généralisation de la complémentaire santé

 

Pour aider les assurés dans leurs démarches, l’association de consommateurs UFC-Que Choisir met à disposition gratuitement sur son site internet son comparateur de mutuelles santé indépendant. L’association souhaite ainsi « orienter les usagers sur ce marché souvent nébuleux », notamment en période de résiliation annuelle.

L’UFC insiste sur le critère objectif de son comparateur, « alors que les comparateurs traditionnels sont rémunérés lors de la mise en relation d’un prospect avec une complémentaire santé quand ils ne sont pas directement des filiales d’assureurs », affirme l’association. Ainsi, plus de 100 contrats sont recensés et classés par critères.

Un tableau comparatif en quelques clics

Pour avoir un comparatif des offres, il vous suffit d’indiquer votre profil parmi les 4 proposés (étudiant, célibataire actif, couple avec deux enfants, couple senior), votre lieu de résidence ainsi que vos besoins en soins dentaires et optiques. Apparaît ensuite un tableau comparatif des mutuelles santé. Afin de vous y retrouver, des sigles (de 3 étoiles pour très bien à deux carrés pour mauvais) vous informent sur le rapport qualité/prix, le niveau de remboursement des médicaments, en optique, dentaire, frais hospitaliers et médecins généralistes. « Les tarifs peuvent faire le grand écart, pour des garanties comparables. Ainsi entre deux offres basiques pour un couple de seniors, les tarifs peuvent varier de 930 à 1.242 euros, soit jusqu’à 25% d’économies », rapporte l’UFC. L’association précise par ailleurs que « les offres sont notées sur leur capacité à bien couvrir les consommateurs […] en cas d’aggravation de leur état de santé ».

Si vous souhaitez obtenir un aperçu des contrats sur le marché, ne tardez pas trop : le comparateur est disponible jusqu’au 31 décembre 2015.


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Trophées Argus gestion de sinistres : le palmarès 2015

Ce mardi 6 octobre au soir s’est tenue, à l’hôtel Shangri-La, à Paris, la cérémonie de remise des Argus de la gestion de sinistres, une série de quatre trophées venant récompenser l’innovation dans cet épisode clé de la vie du contrat.  Lire l’article
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