Fin de la vignette verte d’assurance automobile

Le bout de papier vert qui certifiait l’assurance automobile tirera bientôt sa révérence.

L’intelligence artificielle booste la détection des fraudes chez Generali Assurances

Dans une avancée remarquable, Generali Assurances renforce son dispositif de détection de fraudes grâce à l’Intelligence Artificielle (IA).

Conduite sans assurance : les risques à connaître

Saviez-vous qu’environ 800 000 conducteurs en France circulent sans assurance, selon le Ministère de l’Intérieur ?

Comment optimiser votre contrat d’assurance vie ?

L’épargne mensuelle est une préoccupation majeure pour bon nombre d’individus. Le choix d’un contrat d’assurance vie peut être une option intéressante pour épargner efficacement.

Réforme de l’assurance récolte : les détails enfin dévoilés

La réforme de l’assurance récolte entrera bientôt en vigueur.

Les Français méfiants vis-à-vis des comparateurs d’assurance

La question de l’indépendance des comparateurs d’assurance revient au cœur des débats. En effet, 82% des Français utilisant des comparateurs d’assurance considèrent l’indépendance comme un critère « indispensable », selon un sondage OpinionWay pour Choisir.com publié le 2 décembre 2014. Autre point soulevé par l’étude : le fait de devoir communiquer ses coordonnées personnelles (mail, téléphone) pour obtenir les résultats « agace » 79% des utilisateurs. Plus préoccupant encore, cela pousse 66% des sondés à ne pas aller plus loin. Les Français seraient donc encore assez méfiants vis-à-vis des comparateurs d’assurance.

Le manque d’indépendance des comparateurs a déjà été pointé du doigt par certains acteurs du secteur. Pour Arnaud Chneiwess, secrétaire général du Groupement des entreprises mutuelles d’assurance (Gema), « Chez qui suis-je ? » est la première question à se poser quand on arrive sur le site car certains comparateurs ont « comme actionnaire principal un des grands assureurs français ». Dans le même veine, Olivier Gayraud, juriste pour l’association de consommateurs CLCV, se pose une question : « Est-ce qu’on a vraiment affaire à un service de comparaison ou à une publicité qui ne dit pas son nom ? ».

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Nomination : Mathieu Bébéar et Amélie Oudea-Castera promus chez Axa France

axa-assurance-banque-credit-placement-assurer-assureur-groupeNomination : Mathieu Bébéar et Amélie Oudea-Castera promus chez Axa France

Suite au départ annoncé de Jacques de Peretti, c’est Matthieu Bébéar qui prendra sa suite, avec Amélie Oudéa-Castera pour l’épauler.

Le 1er mars 2015, Axa France tournera donc la page Jacques de Peretti, appelé au Japon par le groupe Axa. Pour lui succéder, Axa France annonce la nomination de Matthieu Bébéar, entré chez Axa en 1992 et directeur général adjoint d’Axa Particuliers/professionnels et directeur de la distribution depuis 2013. Une succession logique donc.

Pour prendre épauler Matthieu Bébéar, Amélie Oudéa – Castera est promue directrice générale adjointe. Arrivée chez Axa France en 2011 après un passage au groupe depuis 2008, elle était jusqu’alors directrice marketing, marque et service avec la responsabilité du digital en 2012.


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Etat de catastrophe naturelle reconnu pour le Var, l’Aude et les Pyrénées-Orientales

Les personnes dont le logement a été détérioré par les inondations qui ont frappé le Sud de la France ces derniers jours vont pouvoir être indemnisées rapidement. En effet, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé que, depuis le lundi 1er décembre 2014 au matin, une procédure « accélérée » de classement en état de catastrophe naturelle était lancé pour les intempéries ayant sévi dans le Var, les Pyrénées Orientales et l’Aude.

Concrètement, cela signifie qu’une fois l’arrêté de catastrophe naturelle est publié, l’assuré est sûr d’être indemnisé pour les dégâts causés par les inondations. Il a dix jours à compter de la parution de l’arrêté au Journal Officiel pour effectuer une déclaration de sinistre à son assureur. L’indemnisation doit ensuite être versée à l’assuré dans les trois mois.

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Courtage : Une semaine pour changer la CSCA

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La Chambre syndicale des courtiers d’assurance a levé obstacle à sa refonte puisque le Sfac a largement approuvé son entrée dans la nouvelle organisation. Mais rien n’est réglé, tant que le Sycarif n’a pas réuni son assemblée générale extraordinaire et voté son entrée dans l’union.

La nouvelle version de la CSCA verra-t-elle le jour en 2014 ? Ce 2 décembre, le Syndicat français des assureurs conseils (SFAC) s’est réuni en assemblée générale extraordinaire pour valider sa dissolution, puis sa reconstitution au sein de l’union syndicale appelée à remplacer la CSCA.

L’arrivée du Sfac confirme la levée d’une des trois conditions suspensives au projet initié par Dominique Sizes en 2013. Avec l’approbation par 96% des suffrages environ des 4 résolutions, les membres du Sfac ont donc montré leur intention de rejoindre le projet.

Seulement, pour que l’Assemblée générale extraordinaire ait bien lieu dans les derniers jours de cette année 2014, il faut que les deux dernières conditions suspensives soient levées. Or le Sycarif, le Syndicat des courtiers d’assurance et de réassurance d’Île de France, pèse à lui tout seul sur la faisabilité du projet. En effet, les deux dernières conditions suspensives portent sur le nombre d’adhérents et les moyens financiers apportés par chaque syndicat. Et si 8 syndicats sur 10 ont déjà rejoint l’union, le Sycarif à lui seul bloque la levée des conditions.

Contacté, le Sycarif ne s’est pas encore exprimé sur le sujet. Mais il lui reste une semaine pour réunir son AGE et valider le projet. Car après le 12 décembre, la CSCA ne pourra convoquer sa propre AGE permettant la création de l’union.

A l’heure des rapprochements dans les fédérations d’assureurs, des discussions du CTip avec les autres fédérations, des signaux envoyés par la Mutualité vers le Gema, de l’unité des agents généraux, les courtiers d’assurance semblent jouer un jeu dangereux. Sans union, que restera-t-il des syndicats de courtage d’assurances ? Réponse dans une semaine.


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Assurance auto : « e-constat » disponible en téléchargement

C’est le grand jour pour l’application « e-constat auto », mise en ligne le 1er décembre 2014 par l’Association française de l’assurance (Afa). Elle doit permettre aux conducteurs de remplir des constats à l’amiable sur leur smartphone suite à des accidents matériels.

 
e-constat

Il y a du nouveau dans le petit monde de l’assurance automobile. L’application « e-constat auto » est disponible en téléchargement sur smartphone à partir du lundi 1er décembre 2014. Le principe est simple : remplir le constat suite à un accident « mineur », c’est-à-dire avec des dégâts matériels mais pas corporels, directement sur son téléphone et le déclarer à son assureur dans la foulée. Le tout sur le modèle du classique constat papier.

« L’application e-constat auto concerne les accidents survenus à tous véhicules terrestres à moteur, immatriculés et assurés en France, et n’ayant pas entraîné de dommages corporels », précise l’Association française de l’assurance (Afa) dans un communiqué de presse.

L’application est à télécharger sur Google Play pour les possesseurs de smartphones utilisant le système d’exploitation Android, comme les téléphones de marque Samsung par exemple. Les adeptes de l’iPhone ne sont pas en reste puiqu’« e-constat auto » est également disponible sur l’App Store. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de l’application, l’Afa a mis en ligne deux vidéos de présentation d’ « e-constat auto », permettant d’explorer un peu plus son fonctionnement.

Concrètement, le ou les automobilistes impliqués dans un accident matériel pourront utiliser l’application juste après le sinistre. Avant d’envoyer le constat électronique, les assurés doivent indiquer le nom de l’assureur, le numéro d’immatriculation du véhicule et les informations demandées sur le titulaire du contrat. Un espace libre est prévu pour la description du sinistre. « On peut y joindre un croquis et des photos de l’accident », ajoute l’Afa. Après quoi, l’assuré signe le constat directement sur l’écran et envoie sa déclaration. Il reçoit ensuite un SMS de confirmation ainsi qu’un mail avec l’exemplaire du constat sous format PDF.

Comme toujours, les premiers utilisateurs d’ « e-constat auto » ont commencé à commenter et à critiquer l’application sur Google Play et l’App store. Outre quelques soucis techniques très classiques, les mobinautes sont nombreux à signaler qu’il n’est pas possible de pré-remplir les informations pour plusieurs véhicules. Ainsi, le propriétaire d’une voiture et d’une moto devra choisir de pré-renseigner les caractéristiques d’un seul des deux véhicules. Un défaut de jeunesse qui sera sans doute corrigé dans le temps.

A savoir : Le constat électronique présente la même valeur juridique que le constat amiable papier. En revanche, il est impossible à utiliser en cas de dommages corporels, cette situation ne permettant pas de remplir un constat à l’amiable.

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